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Un voyage dans la lune envers et contre tout à l’Opéra national de Montpellier, Toute la Culture 

GILLES CHARLASSIER

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« la scénographie concentre toute l’inventivité du spectacle d’Olivier Fredj – la fantasmagorie des costumes fait ça et là penser à Bosch, patronage idéal pour l’esprit de l’oeuvre, revisité de manière plus contemporaine. »

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Un voyage dans la lune reporté, Resmusica

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« pour apprécier l’impressionnant travail du jeune metteur en scène Olivier Fredj et goûter la direction musicale de Pierre Dumoussaud. »

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Le voyage dans la lune à l'opéra de Montpellier, Première Loge

 

On sait un gré infini au metteur en scène Olivier Fredj de faire confiance à l’intelligence des spectateurs (…) Le livret original fait rire, surprend, questionne, bref… fonctionne merveilleusement bien tout seul !

Du reste, la mise en scène est fort habile. (…) Le metteur en scène renoue à sa manière avec l’esprit du spectacle de la création, en suscitant amusement et effets de surprise, y compris dans la chorégraphie. Olivier Fredj ne renie pas la féerie en tant que genre ; il fait par ailleurs efficacement alterner la tendresse, le rire – voire le fou rire, avec également un vrai moment de poésie lors du beau duo d’amour entre Caprice et Fantasia.

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LE FIGARO

Christian Merlin

« la mise en scène d’Olivier Fredj plastiquement séduisante »

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Oh les beaux jours, Wanderer

par Laurent Bury

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« Les choix d’Olivier Fredj sont efficaces et intelligents. Faute de pouvoir en mettre plein la vue à un public moderne habitué aux effets spéciaux du cinéma, le metteur en scène décide de mettre en avant le côté artisanal qu’avait encore le septième art à ses débuts. »

 

 

Le voyage dans la luné prend son envol à Montpellier, Opéra Online

 Elodie Martinez

 

On apprécie tout particulièrement la mise en scène d’Olivier Fredj (…) Point de gros sabots et toute la fantaisie qu’appelle l’œuvre. Nombre de détails accrochent l’œil, comme la pomme des charlatans faisant penser à celle d’Apple, le marteau du juge qu’il utilise aussi comme une canne d’aveugle…Le rire n’est pas l’unique instrument dont use Olivier Fredj : le beau est aussi au rendez-vous. 

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Le voyage dans la lune trouve la parade, Le Midi Libre

MICHÈLE FIZAINE

 

« Visuellement, c’est une magie absolue, la projection de toiles peintes. Le monde industriel, machines et engrenages est un cadre aussi fort que les paysages naturels et imaginaires. L’univers en noir et blanc colorisé et toutes les teintes de gris évoquent Méliès et la photo. Mais rien de minimaliste, l’éruption volcanique met le feu autant que la neige ensorcelle » 

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Le public a rendez-vous avec la lune à l'opéra de Nice, Actualités Ôlyrix

" ... La mise en scène d’Olivier Fredj verse avec grâce et légèreté dans la mise en abyme pour ce voyage de la Terre à la Lune. Ici, la scène est un plateau de tournage, avec ses corps de métiers back et front stage, du régisseur au réalisateur, qui emprunte au cinéma muet de Méliès. Les machineries théâtrales sont renforcées à l’ère du numérique, avec force effets spéciaux (comme par exemple l’explosion finale d’un cratère aux feux mal éteints) ..."

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Lyrique. Quand Olivier Fredj et Offenbach nous amènent de la Terre à la Lune

"En route vers l’onirisme et le dessin animé sur scène avec une opérette joyeuse, lumineuse et colorée. Un esprit déjanté pour un spectacle où le jeu le dispute à la voix avec des chanteurs remarquables à bien des égards."

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GILLES CHARLASSIER

The scenography condenses all the creativity of Olivier Fredj’s opera – the phantasmagoria of the costumes makes one think of Bosch every now and again, an ideal patronage for the spirit of the opera, revisited in a more contemporary way.

http://toutelaculture.com/opera/voyage dans la lune-envers et contre tout-a-lopera-national-de-montpellier.

 

RESMUSICA

To appreciate the young stage director Olivier Fredj’s impressive work and enjoy Pierre Dumoussaud’s conducting.

https://www.resmusica.com/2020/2021/un-voyage-dans-la-lune-reporte/

 

PREMIERE LOGE

One is infinitely grateful to the director Olivier Fredj for putting his faith in the intelligence of the audience (…) The original libretto makes us laugh, surprises us and raises questions, in short, it works perfectly well on its own! In fact, the performance is very clever(…)In his own way, the director revives the spirit of the original opera, creating fun and surprises, including in the choreography. Olivier Fredj does not disown fantasy as a genre: in fact, very efficiently, he alternates affection and laughter (even hysterical laughter) with a real moment of poetry during the beautiful love duet between Caprice and Fantasia.

https://www.premiereloge-opera.com/compte.rendu/202012/18/en-plein-confinement-lopera-de-montpellier-ose-demander-la-lune-offenbach-le-voyage-dans-la-lune-opera-de-montpellier-olivier-fredj-pierre-dumoussaud-palazetto-bru-zane:critique-compte-rendu

 

LE FIGARO

Chirstian Merlin

Olivier Fredj’s direction is attractive from a plastic point of view.

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WANDERER

Laurent Bury

Olivier Fredj has made efficient and intelligent choices. As he could not impress a modern audience who is used to special effects in films, the director decided to highlight the craftsman’s side which existed in the Septième Art at the beginning.    

htpps://wanderersite.com/2020/12/oh-les-beaux-jours/ ?fbclid=lwAR37A07fRiznSwo8lwfb1sP83WcvULWzRgr71Lq5OzWUyw5lRrYK3fUEE

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OPERA ONLINE

Elodie Martinez

We especially enjoyed Olivier Fredj’s directing(..) No heavy hints and all the fantasy the opera calls for. Many details catch the eye, like the charlatans’ apple reminding one of Apple, the judge’s hammer that he uses as if it were a blind man’s cane.  Humour is not the only tool Fredj uses, he also uses beauty. 

htpps://www.opera-online.com/fr/columns/elodie/le-voyage-dans-la-lune-prend-son-envol-a-montpellier       

 

LE MIDI LIBRE

MICHELE FIZAINE

Visually, the projection of paintings is absolute magic. The industrial world, with its machines and equipment, is as forceful a setting as the natural and imaginary landscapes. The universe which is black and white but colorized and all the different greys remind one of Méliès and photography. 

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OPERA MAGAZINE

It was risky but was rewarded by the almost debutant’s audacity, not just because of the psychoanalytic angle developed in the staging notes, making one fear a rather dry application of the second Freudian topic to the triad formed by the Superego -his wife-, the Ego and the witches – the CA – but thanks to the lighthearted spirit that creeps into one of the darkest works in the repertoire.

Seen through the projections of Jean Lecointre’s numerical collages, Macbeth becomes a surreal nightmare. Going from the kitchens to the spouses’ bedroom via the entrance hall, the mob filling the ‘art déco’ style hotel where the action takes place, conjures up, in turn or even simultaneously, The Rocky Horror Picture Show, the Soeurs de la Perpétuelle Indulgence, Jean-Paul Goude’s creatures or even Hecate, half Cruella and half cabaret dancer, who gives life to a ballet, choreographed in Laura Scozzi style.

It is sometimes irritating, but mostly clever and even really funny. One can see the pertinence of the idea when suddenly, from this excess of ideas and references, laid out, somewhat skillfully in a dense and crazy disorder, emerges a pregnant contrast, in an approach of the Macbeth couple based on the refusal of any physical contact and the frustration that comes from this thwarted desire, but most of all, from the absence of any descendance and therefore legitimacy.