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Au-delà de notre condition, nous partageons cette question fondamentale qui fait du futur une angoisse et du passé une mélancolie. Faisons-en une fête : WATCH

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Watch, c'est : 

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Le lancement de la résidence de Paradox Palace au Théâtre du Châtelet jusqu’en 2024 pour un triptyque de créations et l’organisation d’un stade social et artistique après les JO de Paris.

 

• La naissance du Collège de Poétique, une réunion citoyenne éclectique avec, comme agitateur général, Jacques Toubon.

 

• La mobilisation de 6 structures partenaires pour mener les ateliers et pour multiplier les réflexions sur Le temps (Le Samusocial de Paris, Le Centre pénitentiaire de Meaux, 2 Ephad du Centre d’Action Sociale de la ville de Paris, l’école primaire Jeanne d’Arc Paris 13 , L’unité de Soins palliatifs de l’APHP).

 

• Des collaborations avec l’Académie Philippe Jaroussky pour deux musiciens de la formation musicale de Watch, avec le club de gym En Avantj!ade Paris dans le cadre des Olympiades Culturelles, avec Les Augures Lab/Scénogrrraphie pour suivre l’éco- conception du projet et avec la Maison de la Poésie dans le cadre des ateliers au Samusocial de Paris.

 

• Des donateurs qui ont soutenu le projet et permis l’achat de « places suspendues » pour inviter les personnes précaires aux représentations.

 

• Deux représentations événements au Théâtre du Châtelet avec la fréquentation d’un public de tous bords en parfait reflet du spectacle.

 

• L’initiative d’un dispositif inédit et innovant de réinsertion pour les personnes détenues avec le groupe ACCOR et le SPIP77.

 

• Un projet impactant pour 3 000 bénéfificiaires directs.

 

• L’adhésion de nos partenaires publics (Ville de Paris, Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France, le SPIP77) et de nos partenaires privés (Fonds de dotation Accor Heartist Solidarit«y, Fondation MEYER, Fondation La Poste, le Barreau de Paris Solidarités, le Conseil National des Barreaux, Humanités Digital Numérique).

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Conception, écriture et mise en scène : Olivier Fredj Assistant à la mise en scène : Arthur Hauvette
Création graphique : Geoffroy Pithon
Scénographie et costumes : Olivier Fredj et Thomas Lauret Création lumière : Philippe Berthomé

Coordination musicale : Shani Diluka Musique électronique : Matias Aguayo

Arrangements : Abel Saint Bris

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Avec

Shani Diluka, piano
Matias Aguayo, mix électro
Iris Scialom, violon Académie Phlippe Jaroussky
Charbel Charbel, violoncelle Académie Philippe Jarrousky Warren Kempf, alto
Vincent Lochet, clarinette

Théo Lampérier, percussions

et Emma Foucher-Créteau, Fanny Sintès, Hadyl Amar, Jacques Mazeran, Nadir Chebila et Davka, Bizon, Haïss, Alphonse, Pazzo, Mara du Centrepénitentiaire de Meaux.

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Direction des ateliers d’écriture : Sylvie Ballul, Yann Apperry, Judith Perrignon, Célia Houdart et Loïc Froissart

Répétitrices : Imane Djelalil et Emma Foucher-Créteau Pianistes : Sérine Mahfoud et Ernestine Bluteau 

Coordination générale : Julie Blanc Colcanap
Relations presse : Yoann Doto

Photoraphe : Edouard Brane
Vidéaste : Isaac Mazeran et Vivien Casamian Stagiaire eco-conception : Zoé Brioude

Nous remercions L’Orchestre de Chambre de Paris pour avoir initié et soutenu la création pénitentiaire et particulièrement Watch-Voyages Divers en 2019-2020.

Nous remercions Thomas Amouroux pour les photographies du spectacle prises au Théâtre du Châtelet.

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La Presse

 

LE FIGARO 

Benjamin Puech

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Olivier Fredj veut donner un air tzigane à certaines notes de Schubert, quelque chose du Goran Bregovic des films d'Emir Kusturica. 

 

Le monologue de Sofiane impressionne. « La mémoire n'est pas stérile, pour que le cauchemar ne se répète pas », lance-t-il. Ses mots resteront dans la nôtre, de mémoire.

 

Si, comme le Watch le prouve, le théâtre peut apporter aux détenus, l'inverse n'est pas faux.  Est-ce dû à leur vécu ? Il y a une intensité dans leur voix, qui parvient à se frayer un étonnant chemin sur la mélancolie froide et rêveuse du Voyage d'Hiver.

 

LE PARISIEN

Guénaèle Calant

 

Un projet d'envergure, auquel participent la pianiste internationale Shani Diluka, le musicien électro Matias Aquayo et des comédiens professionnels.

 

Si le metteur en scène Olivier Fredj a été séduit par le projet, c'est parce qu'à l'époque, justement, il répétait sans cesse : « Je n'ai pas le temps. » C'est lui qui a eu l'idée d'élargir l'écriture des textes à des personnes pour qui le temps s'est aussi arrêté, dans un hôpital, une maison de retraite ou un centre d'hébergement : « Je vois le théâtre comme lien entre tous ces publics qu'on dit non-productifs. C'est une façon d'interroger la société en provoquant des rencontres. »

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